Guns n'Roses *
- Zénith de Lille - 02 octobre
2010
Les rumeurs en amont de ce concert
n’étaient pas vraiment bonnes. J’avais
entendu parler d’un Axl usé (et usant) et d’un
groupe débauchant de moyens mais sans grande qualité
musicale… La encore, rien ne remplace son propre jugement…
Alors dire que j’ai assisté au concert du siècle
serait bien entendu largement excessif mais se contenter
de dire qu’il s’agissait d’un bon concert
semble être approprié et sans excès
de jugement. En effet, Axl (seul rescapé du line
up original avec son compère Dizzy Reed au clavier)
ne porte plus de shorts moulants et ne court plus dans tous
les sens mais il reste toujours aussi charismatique, change
toujours autant de tenue pendant le concert sans pour autant
maltraiter ses chansons d’un point de vue vocal. Au
contraire il reste un grand performer et le titre «
This I love » extrait du dernier album (Chinese Democracy)
joué ce soir la suffit à confirmer mes propos
quant à ses capacités vocales. Tous les standards
sont repris (Welcome to the Jungle, November Rain, Paradise
City, Mr Brownstone etc…) et le groupe apporte un
soin particulier aux solos de guitare veillant à
les jouer à l’identique et avec le son des
enregistrements originaux. En fermant les yeux, on s’y
croirait presque. Mais, parce qu’il y a toujours un
« mais », malgré ces artifices (musicaux,
mais aussi tirés sur scène), je regrette quand
même le groupe de mon adolescence avec ses excès,
son style et le truc en plus qu’il manque clairement
dans cette version du groupe. Alors au duel Slash (vu cette
année en 1ere partie d’AC/DC) versus Axl et
ses Guns, le match est remporté par un Slash bien
plus musicien que showman. Mais la soirée est restée
de bonne qualité.
AC DC *
- Stade de France - 18 juin 2010
Vendredi
18 juin, 15h30, arrêt à la station RER Stade
de France St Denis. A voir la tenue vestimentaire de nos
compagnons de voiture (T Shirt et cornes rouges sur la tête)
aucun doute, nous sommes sur la bonne voie. Direction le
stade de France ou le « Rock n’Roll train »
AC DC s’arrête ce soir à 21h00 tapantes
pour une escale de 2h00. Nous prenons donc place au sein
de cette vaste gare de St Denis en attendant notre convoi.
1er passage vers 18h00 : Killing Machine.
30 min d’arrêt environ. Direction immédiate
en voiture bar afin de profiter de quelques bières
au tarif wagon lit. Quant au groupe, rien à signaler.
Pas d’accident de personne à déclarer
juste un accident pour nos oreilles pourtant averties. La
caravane passe…
19h00. Entrée en gare d’un de mes idoles d’adolescent.
Le corail s’appelle Slash. Ex-Guns
n’Roses, Slash nous embarque avec les titres de son
récent album solo (Ghosts, Starlight etc…)
et nous fait revivre les Guns avec des titres comme Sweet
Child Of mine, Paradise City, Rocket Queen et bien d’autres.
Aucun doute sur le chef de bord, même si son acolyte
Myles Kennedy au chant tire fort bien son épingle
du jeu. On s’y croirait. On en voudrait même
encore un peu.
21h00. La locomotive se met en marche. Pas du genre TGV,
non, non, du genre grosse loco à vapeur du siècle
dernier qui fume, qui gronde, au rythme imperturbable une
fois lancée et qui ne s’arrête qu’à
l’arrivée à son terminus. Cette fois
ci c’est sur, le train est en marche. Tout y est comme
à l’habitude : les beuglements de Brian, les
solos et les fesses d’Angus, la rythmique en fond
de scène, les canons, la grosse Rosie etc…
Et dire que certains débâtent sur Lady Gaga
pendant ce temps la… Bref, on passe un sacré
bon temps sans temps mort. Certes le tout est millimétré
mais l’énergie dégagée est telle
que l’on ne se lasse pas une minute du show (hormis
peut être du gros bonhomme torse poil d’environ
1,5 quintaux qui me sert de voisin). 23h00, Last Station,
tout le monde descend. On repart à pied, direction
la gare RER. Soirée à Pigalle pour rester
dans l’ambiance du concert et voir enfin ce qui se
cache sous les soutiens gorges des filles filmées
pendant le concert... On en redemande.
Motorhead
- Zénith de Nancy - 30 juin
2007
Impossible de passer à coté
de ses légendes même si le Hard Rock de Motorhead
n'a jamais été parmi mes préférés.
"Stay clean", 'Ace of Spades" et "Overkill"
sont les trois titres que je connais du doux Lemmy. Et bien
chance, ils ont joués ces trois morceaux de manière
bien puissante et bien forte comme de bien entendu. En fait
j'ai assez moyennement apprécié le concert.
Ce qui me dérange le plus chez Motorhead c'est la
basse de Lemmy, jouée avec un médiator, remplissant
tout l'espace, sans respiration, créant un son touffus
et oppressant.
En même temps c'est leur marque de fabrique.
Iron Maiden *
- Galaxie d'Amnéville - 18
décembre 2003
Iron Maiden fait de la résistance
! Oui, plus de 20 ans après, ces représentants
du hard restent fidèles à eux mêmes
malgré les modes et les tendances. Trop rares sont
ces groupes qui forts d'une première carrière
réussie n'ont pas vendu leur âme au diable
et aux dollars (ne croyez pas que je pense à Metallica
en particulier) afin de toucher un public encore plus large,
voire les descendants de leurs premiers fans, ados à
l'époque !
Le style d'Iron Maiden est on ne
peut plus simple : des grosses guitares, du bon Hard Rock,
la sono au taquet, le tout assorti de cheveux longs (coupe
de rigueur dans le milieu), blazer en cuir (avec des franges,
c'est mieux !) et jean moulant terminé par des baskets
blanches de préférence ! Lorsque le tempo
ralentit, méfiance, il ne s'agit que d'une intro
plus ou moins longue qui annonce une avalanche de guitare
! Bref Iron Maiden, c'est un tout indissociable, avec Eddie,
des fans, des drapeaux britishs et ça tourne
toujours !
Le rendez vous était donc
pris ce 18 décembre au Galaxie d'Amnéville,
salle de concerts de 11000 places environ, suite à
l'annulation du concert nancéen programmé
à l'origine le 29 novembre, et qui avait quand même
vu se pointer des fans italiens devant les portes closes
du Zénith ! (bonjour l'info).
Arrivant vers 20h15, la salle est
déjà pratiquement remplie et l'environnement
est à la hauteur de ce que l'on attend : des chevelus
en noir avec des T Shirts plus ou moins délavés
de leurs idoles, arborant The Trooper quand il tire vers
le gris ou X Factor quand le noir conserve encore son éclat
En effet, la population couvre facilement le jeune ado émancipé
le temps d'une soirée, au fan quarantenaire qui les
a vu pour la première fois en 1984 au Parc des Expos
de Nancy (" j'y étais, moi, et j'peux te dire
qu'à l'époque, on gueulait, on faisait des
holas "). Bref une chose est sure, quelque soient
les époques (et le Ministre de l'Intérieur),
bières et joints sont liés à l'ambiance
! (au fait, ils vendaient du coca ?).
Tiens, au passage, bonne nouvelle,
la 1ère partie est déjà terminée
! A 20h15 ? Oui, oui et depuis au moins un quart d'heure
! Nos papys hardos aurait-ils permission de 23h à
l'hospice ?
20h45 extinction des lumières
et premières notes de guitares. C'est parti. Tout
notre beau monde nous sert la routine comme on l'attend,
et Dickinson, de retour dans le groupe, confirme sa place
d'unique chanteur de Maiden ! L'age ne semble altérer
ni les doigtés ni les physiques (quoique Dave Murray
présente un front désormais au milieu de la
tête !) et fatigue et lassitude ne touchent pas encore
le groupe. Les effets de lumière, les décors
de scène, les visites d'Eddie illustrent les morceaux.
Rien à dire sur le show en lui même, c'est
le Maiden qu'on aime.
Cependant la surprise est totale
quand au bout d'une heure et quart le groupe quitte la scène,
pour y revenir le temps d'une vingtaine de minutes afin
d'y faire 3 rappels (dont l'affreux Journeyman, extrait
du dernier album, sur lequel on trouve tous les guitaristes
à la guitare électroacoustique !!! vous y
croyait au Maiden acoustique vous ????). En gros à
22h20 tout le monde est dehors : plus que surprenant pour
un concert de rock !
Ensuite on regrettera le répertoire
joué. Il est vrai qu'il doit être difficile
d'établir une Set-List qui respecte toute la carrière
du groupe, et qu'une tournée est aussi un outil de
promotion des disques récents. Ainsi outre les standards
inépuisables du groupe (Iron Maiden, Run to the Hills,
Hallowed be thy name, 2 minutes to mindnight ou the number
of the beast), la plupart des morceaux interprétés
ce soir là était tirée des 3 derniers
albums du groupe. Au désespoir des fans les plus
durs (que je rejoins sur ce point), mais pour le plaisir
des plus jeunes !
Vous l'aurez compris, un concert
teinté de regrets
Lynyrd Skynyrd - Deep
Purple - Zénith de
Paris - 29 juin 2003 Une
tournée commune pour ces deux groupes qui fêtaient
leur 30 ans d'existence. Souvenirs...
Je
me souviens des soirées post-baccalauréat
de 1991 chez mon pote Brice.... Une petite dizaine d'abrutis
torse-poil, bourrés, sautant dans tous les sens et
beuglant "Won't you fly Freeeee Biiiiiiiiiiird",
chacun faisant ensuite son Allen Collins avec son balai..."Free
Bird" 3 ou 4 fois de suite à fond la caisse
(et il avait des enceintes le copain!). Lynyrd demeure depuis
un des mes groupes préférés. Après
leur bon (mais court) concert de juin 2000, il était
grand temps de retrouver les icônes sudistes on stage
pour une bonne rasade de southern rock, Lynyrd étant
devenu avec les épreuves et le temps un groupe fédérateur
représentant quasiment à lui tout seul le
rock sudiste. On retrouve ainsi dans ses rangs Rickey Medlocke
de Blackfoot aux influences hard évidentes et Huguie
Thomasson des Outlaws apportant sa patte country. Ils attaquent
par un titre du dernier et controversé album "Vicious
Circle" puis les standards s'enchaînent les uns
aux autres, les guitares s'emmêlent et se démêlent
à la perfection, le piano de Monsieur Billy Powell
est parfaitement audible (miracle), les quelques interventions
des Honkettes (plus toutes neuves...) sont judicieuses,
Johnny Van Zandt est souriant, Gary Rossington en gardien
du temple fait toujours son oeil noir et tout roule mon
garçon!!! "What's your name", le countrysant
"I know a little", le décathlonien "Simple
Man", le destructeur "Call me the Breeze",
ma préférée (Arrrrgghhhh) "That's
smell" , "Gimme three steps", l'attendue
"Sweet Home Alabama", encore quelques unes et
pour finir bien évidement l'ultime hymne sudiste
"Free Bird" dédié au récent
défunt bassiste Leon Wilkinson. 1h30 de concert,
c'est toujours un peu court quand c'est aussi bien mais
ils devraient revenir en février 2004! Oh Félicité!!
Je me souviens d'un concert de Deep
Purple le 18 octobre 1993 au Zénith de Nancy où
tous les membres du groupe original se retrouvaient ensemble
sur scène depuis 15 ans. Show laser à deux
francs, Richie Blackmore qui faisait la gueule mais grand
concert me laissant un souvenir impérissable. Depuis
Blackmore s'est barré et c'est là que le bat
blesse car dès le solo du premier morceau ("Higway
star"), je n'aime pas le style de Steve Morse son remplaçant.
Il s'inscrit dans la droite lignée des Guitar Hero
américains (Vai, Satriani...) à la technique
époustouflante, au son monstrueux mais déshumanisé,
sans intérêt, et sans lien entre chaque note...
Le restant du groupe est pourtant bien là (Ian Gillian
au chant, John Lord aux claviers), les morceaux d'anthologies
aussi ("Speed King", "Lazy", "Space
Truckin"), mais bon la sauce prend avec difficulté
surtout à cause de quelques titres franchement "soupe",
d'un son beaucoup trop fort, et d'un Steve Morse jouant
au Buddy Guy pourpre avant d'attaquer "Smoke on the
water" : je sais faire de l'Hendrix, je fais mon Slash,
mon Angus, mon Jimmy Page et patati et patata. Dommage,
dommage, 1h30 de Deep Purple qui méritait mieux.
Iron Maiden
- Palais Omnisports Paris Bercy - 25
juin 2003 Ben
oui, ça arrive d'aller voir un concert de hard de temps
en temps... Ca fait pas de mal. Pas forcément de bien
non plus... surtout à l'écoute (pas longtemps
je vous rassure) des MurderDolls groupe assurant la première
partie des rois du Heavy.
Bercy
pas mal rempli pour Iron Maiden venu dérouler ses
classiques, ses morceaux du dernier album (Brave New World,
ou plutôt "un brave nouveau monde") et un
titre en exclusivité du prochain album...Oulala.
Pas de surprise avec Maiden, c'est carré et c'est
du Maiden. Bruce Dickinson est en jambes, le reste du groupe
aussi. Eddie la mascotte est toujours aussi nulle. On a
droit à une tirade contre les radios "pop commercial
N° 1, 2, 3 et aussi 4" et "N'oublie pas la
liberté de ton coeur", j'y travaille en ce moment
même. Les lancers de guitare en l'air ont progressés
grace aux micros HF, 3 m de haut fastoche. Ma préférée
reste "Hallowed be that name" et son dada dadada.
Pis en rappel "Run to the hills" et enfin on apprend
que Maiden devrait revenir à Bercy en novembre 2003
pour promouvoir le futur nouvel album, chouette!! Mais je
sais pas si j'y serai encore de la partie...
Ice Earth
- Elysée Montmartre Paris - 23
janvier 2001 Du Heavy. Du
vrai du pur avec les cheveux longs, l'imagerie à deux
francs, les poses photographiques, des riffs à gogo,
le public de graisseux. Un vrai concert de Heavy Metal koi.
AC/DC -
Galaxie d'Amnéville - 15 novembre 2000
4 ans sans concert de Hard et the quickenning
avec AC/DC. C'est l'extase, 1ère partie à chier,
12000 personnes, la cloche (d'accord), les cannons (OK), pis
une statue géante d'Angus qui crache de la fumée,
3 écrans géants, un son toujours aussi énorme,
le Tee Shirt trempé de sueur de Brian, les fesses d'Angus
(comme d'hab), les explosions et tout le tralala. La routine.
J'adore.
Helloween
- Free Wheels de Cunhlat - 17 août
1996 Retour aux années
collège avec "Keeper of the Seven Keys" et
"Future World". En fait pas terrible.
Iron
Maiden - Free Wheels de
Cunhlat - 17 août 1996
Bruce est parti, remplacé par Blaze Bailey qui s'en
tire tout à fait honnêtement. Tous les classiques
que même moi je connais sont là. La pêche,
Jean Pierre!
AC/DC -
Zénith de Nancy - 29 juin 1996 ARRRGHHH
la totale. La cloche, les canons, les fesses d'Angus Young,
Brian Johnson qui se tripatouille les boules toutes les trente
secondes et puis le son énorme qu'on entend depuis
le centre ville de Nancy, et encore tous les morceaux de gloire Géant.
No One Is Innocent
- Stade Matter Nancy - 15 décembre
1995 Les RATM français
auréolé de leur unique tube "La peau"
sont soutenus par quelques rappeurs nancéens (EJM,
Timide et sans complexe) pour produire une fusion rentre dedans.
Encore un réveil le lendemain avec bleus et courbatures.
Infectious Grooves
+ Cyco Mico - Espace culturel
de Seichamps - 24 novembre 1995 La
bande à Mike Muir revient en Lorraine sous la forme
Cyco Mico pour jouer du punk-rock et sous le nom d'Infectious
Groove pour accentuer le coté Funk/déconnade
déjà présent chez Suicidal Tendencies.
dans les deux cas Robert Trujillo slappe à tout va.
Die Krupps
- Terminal Export - 20 octobre 1995
Mix de beats techno et de hard. C'est
violent et bruyant. Les guitares font "crin, crin, criiiin"
et le chanteur - un taré - tape sur un tuyau en fonte
avec des matraques métalliques. Radical pour les oreilles.
Machine Head
- Espace culturel de Seichamps - 30
avril 1995 Un des trucs les
plus bourrins vu en concert. Et j'ai plutôt accroché.
C'était bien lourd.
Deux groupes en première partie : Mary Beats Jane et
Meshuggah. Pas mal.
Une soirée de costauds.
Megadeth
- Zénith de Nancy - 23 avril
1995 Avec en première
partie Corrosion of Conformity (COC pour les intimes). Bof.
Megadeth font péter les plombs deux fois et il est
impossible de slammer à cause d'un service d'ordre
dépassé. Pis la musique? Bof aussi.
Faith No More
- Espace culturel de Seichamps - 6 avril
1995 Concours de slams, rigolade
et acrobaties du chanteur au programme. Bonus : reprises du
tube de Portishead et "I staded a joke" des Bee
Gees! Quel déconneur ce Mike Patton!
Urban Dance Squad
- Zénith de Nancy - 22 octobre
1994 Le DJ est parti et ils
l'ont remplacé par le gros son de guitare de Tres Manos
et la harangue à n'en plus finir du chanteur Rude Boy.
C'est toujours aussi bon, pis en plus y a du muscle.
Suicidal Tendencies
- Espace culturel de Seichamps - 27
septembre 1994 Du bourrin
comme je supporte, les plombs sautent deux fois pendant le
concert et c'est impressionnant le nombre de mecs torse-nu.
Rage Against the Machine
- Eurockéennes de Belfort - 1er
juillet 1994 Les vedettes
du moment reproduisent note pour note leur premier et très
bon album.
20 000 couillons sautent à pieds joints. Moi aussi.
Mortuary
- Chapiteau de la Pépinière
Nancy - 21 juin 1994 The
groupe de Death nancéen je m'y suis fait un tassement
lombaire en faisant le cake.
Therapy
- Eurockéennes de Belfort - 1er
juillet 1994 Agressif, brutal
et minimaliste. Pas mal
Deep Purple
- Zénith de Nancy - 18 octobre
1993 Made In Nancy! Higway
Star et tout le reste. Une première grande claque Hard.
avec la formation originale sur scène. Ils se font
tous la gueule mais c'est pas grave. Sylvie Maréchal
en première partie, c'était une blague ou koi?
Avec le recul, elle a eu du courage parce qu'elle s'est fait
jeter méchamment.
Gun's and Roses + Suicidal
Tendencies - Zénith
de Nancy - juin 1993 Les
filles étaient devant la scène pour voir Axl.
Manque de bol ça démarre avec le cross-over
musclé de Mike Muir et ses copains. Elles se font éjectées
les unes après les autres par des vilains bourrins.
Bouhhh!! Pis les Gun's? Ben bof.
Iron Maiden
- Zénith de Nancy - 14 mai 1993
Les rois du Heavy Metal en tournée
à Nancy! Non mais pincez moi, je rêve?
Je connaissais presque les chansons
Avec The Almigthy en première partie
Urban Dance Squad -
Terminal Export - juin 1992 De
la fusion avec un DJ au platine. Une chaleur étouffante,
la grosse bousculade, j'aurais du mettre un short